Hôtel H10 Playa Meloneras Palace 5*

Points positifs : c est un bel hôtel très bon accueil avec plateau de courtoisie , le personnel est aux petits soins , les chambres sont jolies et bien entretenues , Points négatifs : hôtel en travaux juste une piscine est fonctionnelle ,ce qui m à déçue le plus c est le buffet car même s il se trouve à l extérieur à cause des travaux vous avez non seulement peu de choix mais tous les jours la même chose j ai mangé du steak pendant 3 jours et en plus très sec pas digne d un 5 etoiles j ai de quoi comparer car nous avons faits pratiquement tous les H10 des canaries et le dernier des points , j avais signalé que nous arriverions le jour de l anniversaire de mon épouse et pour nos 39 ans de mariage et on n à même pas eu un petit mot sympa dans notre chambre c est la 1ere fois qu on ne reçoit aucun égard pour une occasion alors que nous sommes des clients GRAN CLASS

Séjour en famille dans une suite familiale, une sacrée belle suite 😍🤩. Belle emplacement de l'hôtel, au calme et une belle vue sur la mer. Un personnel charmant, aimable, souriant,...et aux petits soins avec nous. Malgré les travaux annoncés, aucun désagrément pour notre part. Hôtel à conseiller et à refaire sans hésitation. Gracias

Je dois dire que le H10 Meloneras est un très bel et vaste hôtel situé au sud des Grandes Canaries a Meloneras à côté du golf un peu en retrait des animations mais seulement a 1.2 km / 1.5 km des dunes. La réception de l'hôtel avec son hall est tout simplement grandiose. L'accueil reçu par Romina a la réception à été très sympathique et fonctionnel, merci pour votre bienveillance et disponibilité, encore mille merci d'avoir organisé le bouquet de fleurs à l'occasion des 90 ans de ma maman, merci pour la carte de l'hôtel et le chocolat, vous êtes un rayon de soleil tant vous dégager du bonheur . Les chambres supérieures vue mer sont magnifiques, tip top bien rénovée de très bon goût , bien isolée. La salle de bain est magnifique avec sa douche italienne , très grande bien agencé. Le jardin agrémenté de toutes sortes de cactus et plantes est énorme avec de beaux points de vue , top instagramable. La grande piscine chauffée à débordement vue sur la met est grandiose . La grande piscine en rénovation va tout simplement être splendide. Les chaises longues sont confortables, les linges de plages de très bonne qualité. Le staff est très sympa , gentil et dévoué, merci à Saulo pour sa gentillesse et en autre son aide envers les personnes ayant des difficultés physiques à la piscine, merci a toi Saulo, cool la photo . Le buffet du petit déjeuner est parfait et quel plaisir de pouvoir dès le matin manger dehors. Le buffet du midi est bien garni, le service suis aussi, merci Rahul pour nous avoir bien servi .. Dû aux rénovations de la salle à manger , petit point noir le soir sur la qualité et choix le soir, mais cela est temporaire, car l'hôtel sous tous les points de vues est au top. Luxe, comfort, tranquillité voilà en résumé le style de l'hôtel que j'en garde

Réservation contrat le 27/03, réception mail 31/03 indiquant travaux et "notre offre restauration ne sera pas réduite". MENSONGE. Je vais le démontrer. Quelques échanges tendus avec l'hôtel à ce sujet. On aurait aimé par ailleurs que cette information paraisse contractuellement le jour même clairement sur la page de validation du paiement ou sur le voucher de confirmation pour éviter toute mise devant le "fait accompli" ou "vice de consentement". Il y a quelques infos non exhaustives sur le site des restaurants de l'hôtel mais c'est délibérément non explicite pour éviter le maximum d'annulations/reports. Hôtel : très beau, architecture originale, beaucoup d’espaces propices à la détente, belle piscine encore ouverte surplombant la mer et plusieurs bars avec bons cocktails sauf Cava honteux pour un 5*. Absence de Prosecco décent. Nous n'avons presque jamais entendu aucun bruit de travaux durant notre séjour.  Chambres : belles et spacieuses. Jolie salle de bain et canapé. Bémol : moelleux du lit et oreillers qui sont plus ceux d'un 4* lambda que d'un 5* de type Sofitel My Bed. Bel approvisionnement Mini Bar All Inclusive sauf café capsules de 3ème catégorie. Personnel : plutôt agréable dans l’ensemble. Beaucoup ne disent cependant pas "bonjour" spontanément. Il manque parfois un peu de sourires (même feints de circonstance), de gaieté et le sentiment qu'ils sont vraiment contents d'être là. Feedback donné sur place au M. des Public Relations : courtois, attentif et professionnel avec un brillant niveau de Français et d'Anglais. Idem pour sa consoeur allemande que j'ai perçu empathique. Mention spéciale pour Mounir au bar absolument adorable. Spectacles : pas mal, mais il faut faire un benchmark de ce qui se fait dans le Monde. On est resté en l'occurrence bloqué 15 ans en arrière au H10. Restauration : Absolument catastrophique ! Que l'offre soit réduite, c'est une chose regrettable, mais que les aliments soient fades et de piètre qualité, c'est une autre ! Ça ressemble plus à un camping 2* qu’à un 5 étoiles. On a souvent trouvé ça non pas médiocre mais totalement insipide. Le fait d'avoir moins de place pour cuisiner n’excuse pas l’absence de saveur. Les poissons étaient surgelés et de 4ème qualité, crevettes et saumon d'élevage dégueulasses et non sauvages avec un goût légèrement iodé comme il se doit. Paella chaque soir vraiment immonde pour ceux qui connaissent bien l’Espagne. Les desserts archi sucrés et industriels. Très très peu de choix au buffet. Seulement trois fromage dont un Manchego industriel. Ananas non mûr. J'ai mieux mangé au Don Miguel 3* Maspalomas qu'ici, un comble ! Ils ont fait des promotions pendant les travaux et fortement réduit de fait le budget restauration. J'ai plusieurs fois déjeuné / dîné dehors pour éviter ce buffet vraiment infect. Vraiment extrêmement déçu. Du jamais vu. C’est presque une très mauvaise blague tant on est à mille lieues d'un 4* ; et et à des années lumière d'un 5*. Bémol : nous avons dîné un soir au Gaudi à la carte et c'était très bon et frais de façon perceptible. Ce qui tend à démontrer que vous avez clairement un hôtel à deux vitesses assumées : une bonne restauration pour les Privilège avec un budget produits nobles (vrai fillet de boeuf) et une hyper médiocre low-cost (pseudo rumsteak hyper fin insipide) pour les autres non Privilege au buffet. Spa : très agréable. Masseuse exceptionnelle à feliciter mais tarifs totalement prohibitifs. Attention aux gros mensonges de la réceptionniste Spa : la piscine intérieure est prétendument chauffée à 33 degrés et le jacuzzi à 38 degrés ! Mais bien sûr... J'ai failli éclater de rire en entendant ça avant même d'essayer et de voir que l'on est plutôt autour de 27/28 degrés maximum pour la piscine. Ils sont habitués à des clients très âgés qu'ils pensent pouvoir aisément manipuler. C'est une mentalité hélas répandue, et pas uniquement au Spa... En résumé, nous avions passé une bonne semaine reposante, mais la nourriture était hyper médiocre voire très mauvaise. Sans augmentation réelle du budget restauration buffet à la réouverture du restaurant principal, et surtout des progrès gustatifs significatifs, je ne verrai pas de raison de revenir dans cet hôtel qui a pourtant un très grand potentiel.

Je suis content d’avoir découvert l’hôtel H10 Meloneras grâce à mon épouse. Après de longues discussions sur les cinq meilleurs hôtels de Grande Canarie, c’est mon épouse qui m'a convaincu de réserver nos premières vacances de 2025 dans cet établissement. Et pourtant, malgré un cadre prometteur, notre séjour a été profondément décevant sur le plan humain. Dès les premiers jours, mon épouse n’a pas reçu le respect qu’elle méritait. Nous avons ressenti une différence de traitement flagrante : comme si, en raison de son apparence, elle n’avait pas sa place dans cet hôtel, alors qu’elle avait activement participé au choix de l’hôtel et payé un séjour Privilège. Elle devenait une extraterrestre pour une majorité du personnel. Au restaurant Gaudi, seule Marta a su faire preuve d’un semblant de professionnalisme pour avoir un maximum de smileys sur un formulaire qu’elle nous a tendu juste avant ses congés. Les autres employés affichaient souvent des regards de travers, des soupirs lourds, un mauvais produit (un reste de café, à la place d’un Americano, par exemple) et une absence manifeste d'égards, et même, en nous voyant arriver les employé.e.s se cachaient dans leur cuisine. À force de nous faire attendre à l’entrée de Gaudi, une employée mexicaine s’est même fait aborder par un autre client qui lui a désigné notre présence, et elle n’était pas contente. À la cantine principale, qu’on a testée deux ou trois fois, mon épouse était surveillée de près pendant que d’autres tables, pourtant sales depuis longtemps, restaient ignorées: à peine mon épouse avait-elle posé sa fourchette qu'on se précipitait pour débarrasser son unique assiette. Ke signale qu’elle peinait pour composer une assiette entière, composée d’une entrée et d’un plat plus ou moins acceptables, comparés à la plupart des autres vacancier.e.s qui usaient au moins trois assiettes eh trois paires de couverts, pour une entrée pauvre, un plat douteux, et un dessert archi industriel. Au restaurant italien, l’expérience a frôlé la caricature : le jour où une certaine Nadia devait s’occuper de notre table, nous n’avons pas eu les couverts nécessaires pour partager notre entrée, ni les deux cuillères indispensables pour déguster nos spaghettis et tagliatelles. Un service bâclé! Pourtant, elle jouait la comédie auprès des clients âgés et susceptibles d’être généreux en pourboires. D’ailleurs, nous nous demandions s'ils avaient un salaire correct, ces employé.e.s! À la Brasserie, le malaise a atteint son comble : une serveuse, qui parcourt la salle à grand pas rapide parfois inutilement, s’est permise de toucher une épaule de mon épouse, sans son accord, pour faire semblant de s’excuser de son retard. Pendant ce temps, d'autres clients, visiblement plus "conformes", recevaient toute l'attention et le respect que nous attendions légitimement. Plus consternant encore : plus les employés semblaient eux-mêmes issus de minorités, plus leur comportement envers mon épouse était dégradant. Et moi, à cause de mon épouse, je n’existais plus, tout simplement. Un comble. Heureusement, il y a quelques rares personnes qui savent se montrer professionnelles : Marta au restaurant Gaudi, Ángel au service, et Airtam (si je me souviens bien son prenom ) l’un des rares maître-nageurs qui ne nous tournaient pas le dos, quand on se croisait. En revanche, seul le restaurant Sakura nous a donné l'impression que ses employés étaient irremplaçables par des machines et robots, où nous avons découvert un art culinaire qui imiterait celui du Japon, que nous ne connaissons pas encore dans son pays d’origine. En résumé, je suis profondément révolté qu'en 2025, dans un hôtel de cette catégorie, certains comportements discriminatoires, dédaigneux ou méprisants puissent encore exister. Mon épouse, avec beaucoup de philosophie, y voit l’expression de traumatismes transgénérationnels et/ou du poids encore bien trop lourd du patriarcat, ou que sais-je d’autres. Nous pensions seulement contribuer au chiffre d'affaires de cet hôtel, et nous n'attendions qu'une chose : un bon *Rapport Qualité-Prix. Ce bon rapport qualité/prix, nous ne l'avons malheureusement pas trouvé.